La valeur du désaccord
dans les études qualitatives

Alors que le consensus est généralement recherché dans les entreprises, ce mémoire vise à valoriser les bénéfices du désaccord comme outil méthodologique au service des études qualitatives. Critiquer, s’opposer, débattre, attaquer, discuter, juger et reprendre, tout cela contribue à mettre en perspective des acquis, à dépasser des préjugés et à repérer des points de tension. Ce sujet est donc, déjà par son choix, polémique ; aussi je souhaite vivement remercier Mme Valérie-Anne PAGLIA et Mme Florence DANTON pour m’avoir encouragée à le développer.

 

Mes remerciements s’adressent donc particulièrement à Mme Paglia pour sa confiance et son optimisme communicatifs, et à Mme Danton pour avoir été présente et disponible au long des nombreuses péripéties de cette année d’apprentissage.

 

Merci aussi à M. Francis Yaiche pour son exposé sur le thème du désaccord aux Small Talks Ipsos du 14 avril 2016 et à M. Louis Rougier pour ses informations précises et détaillés sur la méthodologie Krisis.

 

Merci enfin à tous mes collègues d’Ipsos UU France, toujours prêts à partager leurs expériences en animation de groupe, en récolte de données et en analyse. Ils m’ont aidée à mieux faire le lien entre une méthodologie d’études qualitatives et ses applications concrètes.

Je n’oublie pas Mme Nathalie Rivoire-Naegelen et ses exercices de créativité originaux, comme par exemple la mind-map page 6, qui m’a permis de prendre en compte toutes les problématiques liées à la question du désaccord dans les études qualitatives.